1000 resultados para Allergie et immunopathologie


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Whooping cough remains a problem despite vaccination, and worldwide resurgence of pertussis is evident. Since cellular immunity plays a role in long-term protection against pertussis, we studied pertussis-specific T-cell responses. Around the time of the preschool acellular pertussis (aP) booster dose at 4 years of age, T-cell memory responses were compared in children who were primed during infancy with either a whole-cell pertussis (wP) or an aP vaccine. Peripheral blood mononuclear cells (PBMCs) were isolated and stimulated with pertussis vaccine antigens for 5 days. T cells were characterized by flow-based analysis of carboxyfluorescein succinimidyl ester (CFSE) dilution and CD4, CD3, CD45RA, CCR7, gamma interferon (IFN-γ), and tumor necrosis factor alpha (TNF-α) expression. Before the aP preschool booster vaccination, both the proliferated pertussis toxin (PT)-specific CD4+ and CD8+ T-cell fractions (CFSEdim) were higher in aP-than in wP-primed children. Post-booster vaccination, more pertussis-specific CD4+ effector memory cells (CD45RA- CCR7-) were induced in aP-primed children than in those primed with wP. The booster vaccination did not appear to significantly affect the T-cell memory subsets and functionality in aP-primed or wP-primed children. Although the percentages of Th1 cytokine-producing cells were alike in aP- and wP-primed children pre-booster vaccination, aP-primed children produced more Th1 cytokines due to higher numbers of proliferated pertussis-specific effector memory cells. At present, infant vaccinations with four aP vaccines in the first year of life result in pertussis-specific CD4+ and CD8+ effector memory T-cell responses that persist in children until 4 years of age and are higher than those in wP-primed children. The booster at 4 years of age is therefore questionable; this may be postponed to 6 years of age.

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Few studies have analysed the antibody response during intravesical BCG immunotherapy for superficial bladder cancer. We have examined the evolution in serum antibody response against several heat shock proteins (hsp), including the recombinant mycobacterial hsp65 and the native protein P64 from BCG, GroEL from Escherichia coli (hsp60 family), recombinant mycobacterial hsp70 and the E. coli DnaK (hsp70 family), against purified protein derivative of tuberculin (PPD) and the AG85 complex of Mycobacterium bovis BCG, as well as against tetanus toxoid in 42 patients with a superficial bladder tumour, 28 treated with six intravesical BCG instillations and 14 patients used as controls. We also analysed the lymphoproliferative response of peripheral blood mononuclear cells against PPD in this population. Data of antibody responses at 6 weeks post BCG were available in all 28 patients, and at 4 month follow up in 17 patients. All patients who demonstrated a significant increase in IgC antibodies against PPD at 4 months follow up had a significant increase already at 6 weeks of follow up. In contrast, IgG antibodies against hsp increased significantly from 6 weeks to 4 months post- treatment. A significant increase in IgG antibodies against PPD, hsp65, P64, GroEL, and hsp70 at 4 months follow up was observed in 10/17, 8/17, 10/17, 4/17 and 8/17 patients. Native P64 protein elicited a higher antibody response than recombinant mycobacterial hsp65. No increase in antibody response was observed against Dnak from E. coli, against AG85 or tetanus toxoid after BCG therapy. An increase in IgG antibodies against P64 at 4 months follow up compared with pretreatment values was found to be a significant predictor of tumour recurrence (P < 0.01). Further studies with a larger number of patients are needed to confirm the value of the antibody response against P64 as a clinical independent prognostic factor.

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Infant CD4+ T-cell responses to bacterial infections or vaccines have been extensively studied, whereas studies on CD8 + T-cell responses focused mainly on viral and intracellular parasite infections. Here we investigated CD8 + T-cell responses upon Bordetella pertussis infection in infants, children, and adults and pertussis vaccination in infants. Filamentous hemagglutinin-specific IFN-γ secretion by circulating lymphocytes was blocked by anti-MHC-I or -MHC-II antibodies, suggesting that CD4 + and CD8 + T lymphocytes are involved in IFN-γ production. Flow cytometry analyses confirmed that both cell types synthesized antigen-specific IFN-γ, although CD4 + lymphocytes were the major source of this cytokine. IFN-γ synthesis by CD8 + cells was CD4 + T cell dependent, as evidenced by selective depletion experiments. Furthermore, IFN-γ synthesis by CD4 + cells was sometimes inhibited by CD8 + lymphocytes, suggesting the presence of CD8 + regulatory T cells. The role of this dual IFN-γ secretion by CD4 + and CD8 + T lymphocytes in pertussis remains to be investigated. © 2012 Violette Dirix et al.

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L'allergie au lait de vache (ALV) représente l'allergie alimentaire la plus fréquemment rencontrée durant l'enfance. Cette allergie a longtemps été reconnue comme transitoire mais des données récentes révèlent que celle-ci est persistante chez environ 15% des enfants qui en sont touchés durant l'enfance, posant ainsi un risque à leur santé. La présente étude examine 26 enfants avec ALV et 12 enfants contrôles recrutés au CHU Sainte-Justine durant l’hiver 2011-2012. L'objectif étant de comparer la densité minérale osseuse (DMO) et les niveaux sériques de 25(OH)D d'enfants prépubères avec ALV non résolue à un groupe contrôle d'enfants avec autres allergies alimentaires, en plus d'évaluer les apports en calcium et en vitamine D ainsi que l'adhérence à la supplémentation chez cette population. La DMO lombaire (L2-L4) ne diffère pas significativement entre les groupes. Cependant, une faible densité osseuse, caractérisée par un score-Z entre -1,0 et -2,0 pour l'âge et le sexe, est détectée chez plus de 30% des enfants avec ALV et plus de 16% du groupe contrôle, sans allergie au lait. Tel qu'attendu, les apports en calcium sont significativement moins élevés chez les enfants avec ALV comparé au groupe contrôle, avec près de 90% de tous nos participants ne rencontrant pas les besoins pour l’âge en vitamine D. Plus de la moitié des enfants avec ALV présentent une concentration de 25(OH)D inférieure à 75 nmol/L. Cependant, notre étude n'a décelé aucune différence entre les niveaux sériques de 25(OH)D des enfants avec ALV comparativement au groupe contrôle. Enfin, l'adhérence à la supplémentation est jugée adéquate chez plus de 75% de notre groupe d'enfants avec ALV, soit ≧ 4 journées par semaine, un facteur aussi associé à une meilleure atteinte de leurs apports nutritionnels en calcium et en vitamine D. Enfin, ces résultats soulignent l'importance de suivre la santé osseuse d'enfants avec ALV ainsi qu'avec allergies multiples, qui présentent un risque de faible densité osseuse. L'intervention nutritionnelle devrait suivre l'adhérence à la supplémentation chez les enfants avec ALV non résolue, afin d'optimiser les apports nutritionnels insuffisants en calcium et en vitamine D

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Problématique : L'allergie au lait de vache (ALV) est reconnue comme une condition transitoire qui disparaît chez la majorité des enfants avant l’âge de 3-5 ans, mais des données récentes révèlent une persistance de l’ALV. Les enfants souffrant d’une ALV sont à risque d’apports insuffisants en calcium et en vitamine D, deux nutriments impliqués dans la santé osseuse. Une première étude transversale portant sur la santé osseuse d’enfants prépubères ALV a observé que la densité osseuse (DMO) lombaire était significativement inférieure à celle d’enfants sans allergie au lait de vache (SALV). Objectifs : Sur la base de ces résultats, nous désirons documenter l’évolution longitudinale de la santé osseuse, du statut en vitamine D, des apports en calcium et en vitamine D et de l’adhérence à la supplémentation des enfants ALV (n=36) et de comparer ces données aux enfants SALV (n=19). Résultats : Le gain annualisé de la DMO lombaire est similaire entre les enfants ALV et SALV. Bien qu’il n’y ait pas de différence significative entre les deux groupes, la DMO lombaire des enfants ALV demeure cependant inférieure à celle des témoins. Qui plus est, le score-Z de la DMO du corps entier tend à être inférieur chez les enfants-cas comparé aux témoins. Au suivi, la concentration de 25OHD et le taux d’insuffisance en vitamine D sont similaires entre les deux groupes tout comme les apports en calcium et en vitamine D. Davantage d’enfants ALV prennent un supplément de calcium au suivi comparativement au temps initial (42% vs. 49%, p<0,05), mais le taux d’adhérence à la supplémentation a diminué à 4 jours/semaine. Conclusion : Une évaluation plus précoce ainsi qu’une prise en charge de la santé osseuse des enfants ALV pourraient être indiquées afin de modifier l’évolution naturelle de leur santé osseuse. Les résultats justifient aussi le suivi étroit des apports en calcium et vitamine D par une nutritionniste et la nécessité d'intégrer la supplémentation dans le plan de traitement de ces enfants et d’assurer une surveillance de l’adhérence à la supplémentation.

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Problématique : L'allergie au lait de vache (ALV) est reconnue comme une condition transitoire qui disparaît chez la majorité des enfants avant l’âge de 3-5 ans, mais des données récentes révèlent une persistance de l’ALV. Les enfants souffrant d’une ALV sont à risque d’apports insuffisants en calcium et en vitamine D, deux nutriments impliqués dans la santé osseuse. Une première étude transversale portant sur la santé osseuse d’enfants prépubères ALV a observé que la densité osseuse (DMO) lombaire était significativement inférieure à celle d’enfants sans allergie au lait de vache (SALV). Objectifs : Sur la base de ces résultats, nous désirons documenter l’évolution longitudinale de la santé osseuse, du statut en vitamine D, des apports en calcium et en vitamine D et de l’adhérence à la supplémentation des enfants ALV (n=36) et de comparer ces données aux enfants SALV (n=19). Résultats : Le gain annualisé de la DMO lombaire est similaire entre les enfants ALV et SALV. Bien qu’il n’y ait pas de différence significative entre les deux groupes, la DMO lombaire des enfants ALV demeure cependant inférieure à celle des témoins. Qui plus est, le score-Z de la DMO du corps entier tend à être inférieur chez les enfants-cas comparé aux témoins. Au suivi, la concentration de 25OHD et le taux d’insuffisance en vitamine D sont similaires entre les deux groupes tout comme les apports en calcium et en vitamine D. Davantage d’enfants ALV prennent un supplément de calcium au suivi comparativement au temps initial (42% vs. 49%, p<0,05), mais le taux d’adhérence à la supplémentation a diminué à 4 jours/semaine. Conclusion : Une évaluation plus précoce ainsi qu’une prise en charge de la santé osseuse des enfants ALV pourraient être indiquées afin de modifier l’évolution naturelle de leur santé osseuse. Les résultats justifient aussi le suivi étroit des apports en calcium et vitamine D par une nutritionniste et la nécessité d'intégrer la supplémentation dans le plan de traitement de ces enfants et d’assurer une surveillance de l’adhérence à la supplémentation.